Où allons-nous ?
En Côte d'Ivoire, dans le district d'Abidjan à Yopougon.
 

Quand ça ?
Du 12 juillet au 16 Août 2015.
 

Pour faire quoi ?
De l'animation au profit des enfants des quartiers défavorisés d'Abidjan, âges de cinq à quinze ans.
Nous agirons conjointement avec notre partenaire local, une ONG privée : le MESAD.
 

Pourquoi ?
En Côte d’Ivoire, il existe un réel manque de structures de loisirs et de moyens pour divertir l’enfance et la jeunesse et les éveiller aux jeux et à la pratique sportive. 

En jouant dans les rues, les enfants des quartiers défavorisés s’exposent à de graves dangers (proximité avec les voies routières, insécurité urbaines, insalubrité des lieux, manque d’hygiène etc.) et à de multiples fléaux (vol, viol, banditisme, braquage, alcoolisme, prostitution etc.). Plus de 75% des enfants et adolescents des quartiers défavorisés sont confrontés à cette réalité. Le fait de rassembler les enfants dans un même lieu et de mettre en place des activités socio-éducatives variées permet d’assurer leur sécurité, leur éducation et leur développement personnel.

Les centres aérés mis en place par le MESAD ont favorisé chez leurs bénéficiaires le développement de l’esprit d’équipe, du partage, de la confiance en soi, de la tolérance et de l'autonomie.
 

Juillet 2014, une volontaire française s'occupe des enfants du centre aéré de Yopougon

Avec quels moyens ?
Notre budget prévisionnel s’élève à 9000€, dont 1000€ de subvention au MESAD.
 

La valeur ajoutée de notre projet
Notre action de solidarité de quatre semaines s'inscrit donc dans un programme beaucoup plus vaste et déjà existant d'une ONG locale impliquée dans une aide au développement de long terme.

Nous apportons donc des moyens humains en aidant les salariés et bénévoles du MESAD ainsi que les scouts Ivoiriens de notre âge et des moyens financiers avec les 1000€ de subvention, mais nous apportons également quelque chose de neuf au projet, en animant un atelier théâtre avec les enfants débouchant sur le tournage d'un film.

Cela nous permet d'apporter une dimension culturelle à l'action, d'ajouter une touche neuve et personnelle au programme déjà existant, ainsi que de produire un témoignage de notre action de solidarité internationale que nous aurons à coeur de diffuser au sein de notre entourage.